Le siège est l’élément qui différencie le percussionniste du batteur. Ce dernier utilisant également ses pieds, il doit disposer d’une bonne assise pour être confortablement installé derrière sa batterie.
Pourtant, l’achat d’un siège adapté est (trop) souvent négligé par les batteurs et cet équipement est alors le maillon faible du kit.
Qu’est-ce qu’un bon siège de batterie et quelles peuvent être les conséquences d’une mauvaise assise ?
C’est parti pour un nouvel épisode de Game of Throne !
Qu’est-ce qu’un bon siège de batterie ?
Le siège conditionne souvent votre posture derrière les fûts et votre liberté de mouvement. Il influence par conséquent la qualité de votre jeu (et pas uniquement de votre jeu de jambes). Dans le même temps, il minimise les tensions dans les jambes, le dos, les articulations et il permet ainsi d’éviter les douleurs voire même les blessures.
Il doit donc être adapté à votre pratique et à votre morphologie.
Combien mesurez-vous ? Quelle est votre corpulence ?
Avez-vous régulièrement mal au dos ?
Combien de temps passez-vous sur votre batterie ?
Ressentez-vous des douleurs après une séance ?
Déplacez-vous régulièrement votre siège ?
Utilisez-vous une double pédale de grosse caisse ?
Etc …
Voici quelques questions qu’il conviendra de vous posez avant d’investir dans un nouveau siège.
Autrement dit, le choix d’un siège reste très personnel car c’est avant tout une affaire de préférences et de ressenti pendant le jeu.
Mais, les principaux points à vérifier restent les suivants : le siège doit être (très) stable, et impérativement réglable en hauteur. Les matériaux doivent être à la fois robustes et confortables. La forme et la dimension de l’assise doivent être adaptées à votre pratique : une assise trop petite risque de nuire à votre stabilité et, au contraire, une assise trop grande pourra gêner vos mouvements de jambes ou bloquer la circulation sanguine.
Le meilleur conseil est sans doute de faire un essai avant de valider votre achat.
Les assises classiques …
Un siège de batterie comprend plusieurs éléments qu’il est nécessaire de connaître pour faire le bon choix.
Commençons par l’élément principal, l’assise qui peut revêtir différentes formes.
Les assises rondes sont certainement les plus communes et les plus utilisées car elles sont très polyvalentes. Leur diamètre est généralement de 30 à 33 cm environ. Mais il existe aussi des assises rondes en taille XL, comme sur les modèles TAMA Round Rider (diamètre : 38 cm – Prix : 230 € environ).
On trouve ensuite les assises en forme de selle de moto. Ces dernières présentent l’avantage d’être un peu plus larges et surtout de libérer l’arrière des cuisses. Mais, le petit pommeau en partie centrale pourra gêné certains batteurs.
Et certains fabricants présentent des assises qui se rapprochent davantage des sièges dédiés au piano. Ainsi, YAMAHA propose une assise rectangulaire de grande dimensions (48 x 39 cm).
Les assises hybrides …
Quelques marques développent également des formes intermédiaires. Ainsi, les sièges AHEAD Spinal Glide qui présentent une découpe centrale séparant l’assise en deux parties afin de supprimer la pression s’exerçant sur le coccyx au cours des longues séances.
De même, la société américaine THE CARMICHAEL THRONE met ses connaissances dans le domaine des fauteuils de bureau ergonomiques au service des sièges de batterie. Leur design permet d’atténuer la pression exercée sur la colonne vertébrale et les ischio-jambiers au cours de longues périodes assises. Mais le confort et l’ergonomie ont un coût : comptez 320 à 345 $ environ pour une assise ronde avec réglage pneumatique.
Le fabricant japonais TAMA propose une assise hybride sur son modèle Ergo Rider (Prix : 195 € environ). L’assise ronde présente ainsi des échancrures libérant le passage des cuisses.
Si l’assise est traditionnellement plate, vous trouverez également des modèle bombés (dôme) comme ce modèle 9608D de GIBRALTAR (Prix : 170 € environ).
A noter que l’assise peut être démontable pour faciliter le transport ou son remplacement lorsque le revêtement présente des signes d’usure.
De même, je vous conseille de vérifier le système de fixation de l’assise sur l’axe du piétement. En effet, celui-ci doit être particulièrement robuste et bien conçu pour encaisser les mouvements du batteur. Il s’agit généralement d’une pièce moulée en aluminium avec divers renforts et supports en tôle pliée et des points de fixation multiples et largement répartis sous l’assise.
Le réglage de la hauteur …
Le siège doit impérativement disposer d’un système permettant de régler sa hauteur. La plage de réglage moyenne va de 45 à 60 voire 70 cm de hauteur. Certains modèles permettent au contraire de descendre plus bas. C’est un paramètre à prendre en compte selon votre taille.
Sur les modèles basiques, il s’agit généralement d’un réglage pas à pas avec des trous percés le long du tube maintenant l’assise. L’avantage : un fois réglé, le siège ne bouge plus. L’inconvénient : le réglage n’est pas très précis.
Sur les sièges d’entrée de gamme, ce système laisse de plus en plus la place à des tubes télescopiques pour lesquels le réglage est maintenu par une bague – mémoire. Le réglage est alors beaucoup plus précis mais il faut surveiller régulièrement l’usure du dispositif.
Les tabourets à vis sont certainement les plus répandus en milieu de gamme. Le réglage de la position est obtenu en faisant tourner l’assise sur la vis remplaçant le tube de fixation. Ce système permet un réglage assez précis.
Et, dernière option : les système hydrauliques ou pneumatiques qui permettent un réglage précis et rapide mais présentent l’inconvénient d’être plus lourds et plus encombrants que les autres modèles.
Le piétement …
Après l’assise et le dispositif de réglage de la hauteur, ne négligez pas non plus le choix du piétement.
La grande majorité des sièges du marché est équipée d’un trépied qui suffit à assurer une bonne stabilité du siège. Néanmoins, quelques modèles présentent quatre pieds pour une stabilité renforcée.
Les modèles d’entrée de gamme utilisent encore la simple embase. Mais, je vous recommande toutefois les modèles disposant d’une double embase assurant davantage de rigidité, de stabilité et de robustesse.
Par ailleurs, certains fabricants proposent des modèles dont la base (et donc le centre de gravité) est abaissée afin d’augmenter la stabilité.
Dernier point concernant les pieds : des embouts antidérapants en caoutchouc sont indispensables.
Un dossier ?
L’ajout d’un dossier peut être un vrai plus en terme de confort.
Sur la majeure partie des modèles, la hauteur et l’angle du dossier sont réglables afin de s’adapter à votre position. Dans certains cas, il est amovible ou repliable sur le siège afin de faciliter le transport.
Au contraire, cet équipement peut gêner certains batteurs.
Une nouvelle fois, tout dépend de votre ressenti et un essai sera nécessaire. Mais, c’est un point important à prendre en compte avant l’achat car le dossier peut être démonté dans la majorité des cas alors que tous les modèles de sièges ne peuvent pas forcément être équipés d’un dossier après coup.
A noter tout de même que GIBRALTAR commercialise un dossier universel conçu pour s’adapter à tous les sièges (sauf modèles pneumatiques et hydrauliques) au moyen d’un clamp qui se fixe directement sur le tube support de l’assise (Prix : 80 € environ).
D’autres éléments peuvent venir compléter les équipements de votre siège comme les absorbeurs de chocs à ressort (modèle PEARL D1000SPN – Prix : 170 € environ) et les amortisseurs à gaz (modèle ROC N SOC Nitro – Prix : 355 € environ).
Les matériaux …
Concernant les matériaux, on retrouve souvent les mêmes finitions.
Le rembourrage de l’assise est généralement réalisée en mousse haute densité disposée sur une base en bois (contreplaqué). Lisse ou matelassé, son épaisseur varie de 6 à 13 cm selon les modèles. Il doit être suffisamment rigide et épais surtout si votre jeu implique que tout votre poids repose sur vos fesses.
Une mousse de mauvaise qualité pourra avoir deux types de conséquences. Si l’assise est trop dure, elle ne s’ajustera jamais à votre morphologie et ne jouera pas son rôle d’absorbeur de chocs. Au contraire, si elle est trop molle, vous vous enfoncerez dans l’assise qui deviendra rapidement inconfortable.
Certains modèles proposent un rembourrage avec une mousse à mémoire de forme ou avec une combinaison de mousses plus ou moins denses.
Les revêtements sont généralement de deux types différents.
D’une part, les revêtements en simili cuir (vinyle) sont résistants à l’usure et présentent une surface complètement lisse.
D’autre part, les revêtements textiles sont également très résistants et offrent peut-être une plus grande stabilité en vous empêchant de glisser.
Pour sa série “1st Chair”, TAMA a développé un textile censé de réduire le phénomène de transpiration.
Pour ses modèles de la série Airtech, GIBRALTAR mélange ces différents matériaux et propose un habillage des rebords en vinyle tandis que le dessus revêt d’un textile maillé. Certains modèles présente un patch central complémentaire en vinyle.
Attention aux revêtements plastiques bon marché qui favorisent la sudation et peuvent rendre le siège très inconfortable.
Un look plutôt sage …
Pour le look, les fabricants restent souvent assez sages avec des assises de couleur noire, voire grise ou marron.
Mais certains essaient tout de même d’apporter un peu de couleur et un design un peu plus recherché.
Ainsi, de nombreux modèles présentent des surpiqûres colorées.
L’emploi d’empiècement de différentes couleurs apporte également un look différent. A titre d’exemples, GIBRALTAR propose un modèle avec une assise bicolore et géométrique tandis que DIXON a développé toute une gamme de siège à l’aspect déstructuré.
Chez GRETSCH, c’est le “Round Badge” de la marque qui s’affiche sur l’unique modèle de la gamme. Et, LUDWIG adopte le même principe pour les sièges des gammes Atlas Classic et Atlas Pro.
Les américains de ROC N SOC mettent en avant la personnalisation des sièges de batterie puisque vous avez le choix entre quatre formes d’assises et six coloris de tissu (+ le vinyle). Comptez 350 € environ pour le modèle phare de la marque : Roc N Soc Nitro.
Pour les victimes de la mode …
Les fabricants anglais ne sont pas en reste avec la marque SHAW, qui outre son modèle emblématique “Target” propose des design bicolores et innovants (le modèle Target est vendu 144 £ environ).
Quant à la marque californienne FORD DRUMS, elle séduira certainement les amateurs de vintage avec les formes et les associations de couleurs (40 combinaisons possibles) plutôt rétro de sa gamme Smart Ass. Mais attention au budget car si vous voulez avoir l’impression de piloter un hot rod, il faudra débourser entre 400 et 600 $ selon les options choisies !
Et si vous êtes une fashion victim de la batterie, il faut absolument vous orienter vers la marque PORK PIE : vinyles imitant la fibre de carbone, vinyles pailletés ou métalisés, velours rouge ou vert, imitation léopard, tigre ou zèbre, etc … (Prix : 250 à 350 € environ). Si vous voulez vous démarquer, c’est la bonne adresse !
Mon choix …
Après avoir usé quelques fonds de pantalons sur un tabouret basique puis sur un siège bricolé à partir d’un fauteuil de bureau, j’ai recherché un véritable siège de batterie qui corresponde à mes besoins et à mon budget.
Mon choix : le modèle T775 de MAPEX situé en milieu de gamme.
L’assise est large (43 cm), épaisse (10 cm) et plutôt ferme. Après 2 ans d’utilisation, le rembourrage ne présente aucun signe d’affaissement et le revêtement en vinyle souple est toujours intact.
L’assise en forme de selle me convient totalement en libérant les cuisses. Le pourtour plus épais garantit un bon maintien.
Ce siège dispose de quatre pieds à double embase garants d’une excellente stabilité. Et les embouts en caoutchouc sont suffisamment larges pour éviter au siège de glisser.
Le réglage de la hauteur s’effectue précisément au moyen d’un système à vis et d’une bague mémoire. La hauteur peut varier entre 45 et 65 cm. La liaison entre l’assise et la vis s’opère au moyen d’une large pièce moulée en aluminium. Néanmoins, je constate que cette liaison a tendance à prendre du jeu avec le temps, ce s’avère désagréable et oblige à resserrer régulièrement les vis et les écrous papillons.
Le dossier qui équipe ce modèle est amovible (pratique pour le transport) et réglable en hauteur. De plus, il est monté sur un système à ressort qui ajuste son inclinaison. Pour moi, c’est une aide (un peu à l’image des renforts lombaires dans les sièges automobiles) que j’utilise non pas pendant le jeu mais pendant les temps intermédiaires (deux opérations suite à des hernies discales ont laissé quelques séquelles !).
Son prix : 134 à 175 € selon les magasins.
La bonne position …
Après ce tour d’horizon des sièges de batterie disponibles sur le marché, il faut cependant rester clairvoyant.
Car, quelquefois, les problèmes ne viennent pas du choix du siège mais davantage de la position du batteur derrière les fûts.
Le siège est-il bien réglé à la bonne hauteur ? Est-il bien positionné, ni trop près ni trop loin de la caisse claire ?
Lorsqu’on s’assoit derrière la batterie avec les deux pieds posés sur les pédales, les cuisses doivent être plus ou moins à l’horizontal. Les genoux sont alors un peu plus bas que les hanches, elles-même légèrement plus hautes que le cercle de la caisse claire.
Voilà la théorie ! Vous verrez bien entendu des batteurs très bas sur leur siège ou, au contraire, presque debout !
Dans tous les cas, il faut veiller à garder le dos droit. Si, par exemple, les cuisses sont trop inclinées vers le bas, il sera alors difficile de conserver une posture bien droite.
Par ailleurs, utilisez le dossier à bon escient. Il ne faut pas faire le dos rond et se voûter pour prendre appui en permanence. Idéalement, le dossier doit vous servir uniquement pendant les temps morts. Et tous les spécialistes vous le diront : il vaut mieux travailler sa musculature et son gainage pour conserver le dos droit.
Et, en cas de douleurs persistantes, il ne faut pas hésiter à remettre en cause le placement des différents éléments du kit : caisse claire trop basse ou trop haute, toms trop inclinés ou trop à plat, cymbales trop hautes ou trop éloignées, etc … Autrement dit, tout ce qui peut générer des torsions de la colonne vertébrales, des positions fatigantes pour les bras, un mauvais équilibre …
Le bon choix ?
Comme souvent avec les équipements dédiés à la batterie, il n’y a pas de bons ou de mauvais choix.
Le bon siège pour vous sera celui qui vous évitera la fatigue et les douleurs au cours des longues séances, qui vous permettra de maintenir un équilibre et une assise stable quel que soit votre jeu.
Ensuite, tout est une affaire de goût pour un matériau ou une couleur, de préférence pour un sytème technique et …. de budget car la fourchette est très large (d’une trentaine d’euros pour un tabouret basique à plus de 500 € pour un siège ergonomique ou design).
Et vous, prêtez-vous attention au choix de votre siège de batterie ou, au contraire, est-ce un élément secondaire de votre kit ? Quel modèle utilisez-vous ? Qu’est-ce qui a dicté votre choix ? Dites-moi tout dans les commentaires !
Note : Comme d’habitude, cet article est réalisé de manière totalement indépendante. Je ne suis en aucun cas parrainé par les marques citées et je ne touche aucune contrepartie financière ou autre pour publier cet article.
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Merci !
Sources pour cet article …
- TAMA : www.tama.com
- PEARL : http://www.pearleurope.com/product/drum-thrones/
- GIBRALTAR : http://www.gibraltarhardware.com/product-category/hardware/drum-thrones/
- DW DRUMS : http://www.dwdrums.com/hardware
- MAPEX : http://mapexdrums.com/international/products/hardware/thrones/
- AHEAD : http://www.aheaddrumsticks.com/drum-thrones.html
- GRETSCH : http://www.gretschdrums.com/hardware/drum-throne
- LUDWIG : https://www.ludwig-drums.com/en-us/ludwig/products/atlas/atlas-classic
- CARMICHAEL THRONE : https://carmichaelthrone.com/saddle-drum-thrones/
- ROC N SOC : https://rocnsoc.com/
- PORK PIE : https://porkpiedrums.com/products/thrones/
- SHAW : http://www.shawstix.co.uk/products#/stools/
- FORD DRUMS : https://www.forddrums.com/sa-thrones
- DIXON : https://www.playdixon.com/hardware/drum-throne/
- YAMAHA : https://fr.yamaha.com/fr/products/musical_instruments/drums/ac_drums/hardware/stools/index.html
Salut
Je pense que la qualité du siège est allée crescendo avec la recherche de la bonne position derrière l’instrument , qui implique d’être bien assis ,le dos droit etc…qui vient bien après les papa-maman et autre paradiddles….par contre j’ai toujours respecté la distance d’une baguette entre le nombril et le centre de la peau de caisse claire qui fait bien prendre conscience du travail des bras…
Allez les gars on y va! c’est toujours de l’acquis même à 70 balais ( 2 suffiront pour les ballades) et pensez à peter Erskine qui se considère toujours comme un étudiant ou à andré cecarelli qui affirme que plus ça va plus on s’aperçoit qu’on ne sait rien…le tout c’est de constater ses propres progrès,le reste’ c’est pour les rois là- bas là- bas'(R.charlebois)
La question est bonne….et judicieuse mais tout dépend de l’age et du poids …..les sièges sont bien trop lourds .
Ayant eu un grave accident de voiture je m’assois sur une chaise avec des coussins et je suis très bien. Pas de transport de siège.
Il y avait un batteur américain Spencer O’Neil que personne ne connaît bien sûr à part quelques batteurs jazzeux qu s’asseyait sur un tabouret de bar. J’ai moi-même joué debout sur des batteries cocktails et ce ne me dérangeait pas. Il faut savoir s’adapter …..un batteur tous terrains…..Entre nous vaut mieux être un bon batteur mal assis qu’un mauvais batteur bien assis …
Ceci étant j’ai connu ce siège de coiffeur représenté en exemple était de la marque Belmont USA il tournait ,s’inclinait , se tournait mais intransportable.
*Commentaire posté sur Facebook
Merci Clody pour le retour d’expérience de batteur et ….. barbier !
C’est primordial, (je n ai pas testé de jouer debout à ce jour) et j ai trouvé « mon trône » (ample et confort) qui me fait oublier que je suis assise, ma concentration va à mon jeu et complicité avec les autres musiciens.
*Commentaire posté sur Facebook
Si tu l’oublies complètement, c’est que tu as trouvé ton siège ! Ensuite, c’est parti pour de longues heures derrière la batterie !
Bel article, surtout intéressant pour 1 premier achat. Perso, je commence à la batterie malgré un âge certain (70 ans) et j’ai acheté il y a 1 an le Mapeix selle moto dessus rouge, à vis, trépieds. L’attache du siège est en fonte aluminium et en le regardant sous toutes les coutures il semble très réussi. Ju’à présent il me convient. Au départ je voulais un Rosnroc hydraulique avec dossier (le dos n’est plus de première jeunesse) mais trop cher….peut être plus tard ? Je suis nouvel abonné à votre Newletter et je continuerai à vous lire. Merci pourt le boulot
Merci Claude et bienvenue parmi les abonnés ! Effectivement, le Roc N Soc Nitro ressort souvent en tête des comparatifs que j’ai consultés. Avec un budget supérieur, je pense que je me serais orienté vers un modèle Tama 1st Chair. Et, comme je le précise dans l’article, attention au dossier qui est un faux ami s’il n’est pas utilisé correctement. À bientôt j’espère ! Fred